Thursday, February 12, 2009

Quand l’école cognait

Le document porte sur le problème des châtiments corporels dans les écoles. Est-ce que les châtiments corporels sont nécessaires pour la discipline?

D’abord regardons le changement d’attitude des écoles au fil des siècles, et ensuite les problèmes des châtiments corporels et enfin, essayons de trouver une bonne solution.

L’auteur montre les attitudes à la discipline et comment, à cause des interdictions réformantes, elles ont changé au fil des siècles. Les punitions sévères des écoles chrétiennes ont été la cible de la pensée hygiéniste et reformante et les révoltes à la fin du XIXième siècle. Les souffrances à l’école avaient augmenté à tel point qu’elles ont inspiré les superstitions des diables comme le Père Fouettard. Et c’est seulement après 1960, que les horreurs des châtiments corporels ont été enterrés. Mais les châtiments corporels existent encore, notamment en Inde.

A mon avis, les châtiments corporels détournent l’idéologie d’école. <<. La souffrance dissuade le mauvais comportement .>> n’est pas une solution à long-terme. Je suis absolumment persuadé que la peur puisse engendrer un sens de vengeance. Au fil de temps, les sous-conscients des enfants sont gravés avec une attitude de <<. carrotte et bâton .>> au lieu de la rationalisation. Je suis perplexé quant à la peur et la haine évoquées dans les jeunes coeurs car c’est un fait que les enfants copient, à l’aveuglette, les comportements montrés par leur environnement. Donc l’augmentation de la brimade ne m’étonne pas.

Pour conclure, on doit interdire complètement les châtiments corporels! Pourtant, étant donné que les écoles doivent reformer leurs écoliers, je propose la recherche des solutions efficaces, basées sur la psychologie et les sciences de comportement.

Travail, sachez maîtriser vos sentiments

Le document porte sur l’équilibre nécessaire entre la vie privée et la vie proféssionnelle. D’abord regardons les propositions du texte. Ensuite les problèmes de la fusion actuelle des deux vies et mes propres opinions. Enfin, essayons d’arriver à une bonne solution.

Est-ce qu’on peut trouver un équilibre entre les sentiments affectifs et le comportement proféssionnel au travail?

Le document fait allusion à un sondage qui met en valuer l’ambiance du bureau avant de la rémuneration et les délais. Il montre deux types des gens, ceux qui déballent leurs émotions aux collègues en train de chercher l’amitié et ceux qui n’en livrent rien. Ceux-là sont subis aux frustrations et aux confusions résultantes du mélange des motivations affectives et proféssionnelles.

Le document propose un équilibre. On doit garder les <<. limites .>> selon la situation. On doit afficher une image ni tellement ouverte ni tellement fermée qu’elle puisse retourner contre lui. Et je suis tout à fait d’accord avec cette proposition.

Pourtant, aujourd’hui on passe des heures, et quelquefois des jours au bureau. D’un côté il y a le stress proféssionnel et d’autre côté le soutien affectif nous manque. Au cas où l’espirit serait déjà épuisé, peut-on s’inquiéter de dépasser les <<. limites affectives .>>? En plus, bien que la France dirige les heures au travail avec les politiques fermes, les travailleurs de l’Inde n’ont pas assez de droits. On fait face à une situation tellement compétitive que les jobs de <<. 9h jusqu''à 17h .>> n’existent plus, même dans les sociétés publiques.

Mais je crois fortement que les gens qui livrent leurs émotions peuvent être étiquetés <<. sensibles .>>. Donc on doit construire les relations sainement, ou risque d’être exploité.

En conclusion, je suis pour les <<. limites .>>. On ne doit pas se livrer librement aux collègues, mais toutefois, il faut être à l’aise.


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