Le document porte sur l’équilibre nécessaire entre la vie privée et la vie proféssionnelle. D’abord regardons les propositions du texte. Ensuite les problèmes de la fusion actuelle des deux vies et mes propres opinions. Enfin, essayons d’arriver à une bonne solution.
Est-ce qu’on peut trouver un équilibre entre les sentiments affectifs et le comportement proféssionnel au travail?
Le document fait allusion à un sondage qui met en valuer l’ambiance du bureau avant de la rémuneration et les délais. Il montre deux types des gens, ceux qui déballent leurs émotions aux collègues en train de chercher l’amitié et ceux qui n’en livrent rien. Ceux-là sont subis aux frustrations et aux confusions résultantes du mélange des motivations affectives et proféssionnelles.
Le document propose un équilibre. On doit garder les <
Pourtant, aujourd’hui on passe des heures, et quelquefois des jours au bureau. D’un côté il y a le stress proféssionnel et d’autre côté le soutien affectif nous manque. Au cas où l’espirit serait déjà épuisé, peut-on s’inquiéter de dépasser les <<. limites affectives .>
Mais je crois fortement que les gens qui livrent leurs émotions peuvent être étiquetés <
En conclusion, je suis pour les <<. limites .>
2 comments:
Salut Thapas, c'est intéressant, comment les heures du travail ont une incidence sur cette question. Je n'y ai pas pensé.
Merci Sachin
Après tout, les heures folles et l'épuisement qui le susdit empirent la situation émotionelle des salariés...
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